Dans une période de plus grande fragilité, les jeunes peuvent souffrir. Comment comprendre et aider ; dans ces moments ?
Table-ronde : Dans une période de plus grande fragilité, les jeunes peuvent souffrir. Comment comprendre et aider ; dans ces moments ?
Avec Daniel Olivier, psychanalyste, intervenant dans le champ de la protection de l’enfance
Malika Delaye, éducatrice spécialisée, coordinatrice à la Maison des adolescent⋅e.s de Nantes
Céline Bouteiller, éducatrice spécialisée à l’unité d’hospitalisation pour adolescents de l’hôpital d’Évreux.
Animée par David Ryboloviecz, responsable national « Travail Social et Santé Mentale » des CEMÉA
La période de l’adolescence apporte son lot de forts bouleversements et transformations (sortie de l’enfance, transformations physiques, émois amoureux, incertitudes liées à la scolarité, relations avec les parents et la famille, etc.) qui peuvent développer des moments de plus grandes fragilisations, entraînant des moments de crises plus ou moins forts. Ces moments peuvent être encore plus exacerbés quand les jeunes traversent des moments de rupture ou de tensions importantes (ruptures familiales, difficultés scolaires, problème de santé, et récemment pandémie sanitaire, etc.). Les équilibres sont alors plus complexes et les risques renforcés (dépression, tentative de suicide, addictions, passages à l’acte, etc.). Cette table ronde sera une occasion de prendre le temps de réfléchir à cette période de l’adolescence et de l’entrée dans l’âge adulte, que l’on soit parents ou professionnel·le·s de l’éducation.
(Re)voir la table-ronde ici.